Abu I:Iâzim entendit Sahl ben Sa’d as-Sâ’idi répondre à des gens qui l’interrogeaient – « Personne ne s’interposait entre moi et lui », ajouta Abu I:Iâzim
– sur [la chose] avec laquelle on avait soigné la blessure du Prophète (ç). « Aucun des survivants n’est plus au courant de cette affaire que moi, dit Sahl. C’était ‘Ali qui apportait son bouclier plein d’eau tandis que Fâtima lavait le sang qui était sur son visage; puis on prit une natte, on la brûla et on tamponna la blessure. »