Sur le négoce sur terre; et sur ces paroles de Dieu, Puissant et Majestueux: des hommes que nulle affaire, nul commerce ne distraient du Rappel de Dieu.

Directement d’Abu ‘Âsim, d’ibn Jurayj, directement de ‘Amrû ben Dinâr, d’Abu al-Minhâl qui dit: «Comme je m’adonnais aux opérations de change, j’interrogeai Zayd ben ‘Arqam (r) sur le sujet et il me dit: « Le Prophète (ç) dit…
(C).
Directement d’al-Fadl ben Ya’qûb, directement d’al-Hajjâj ben Muhammad, d’ibn Jurayj, directement de ‘Amrû ben Dinâr et de ‘Âmir ben Mu ‘ab qui rapportèrent avoir entendu Abu al-Minhâl dire: «Comme j’interrogeai al-Barâ’ ben ‘Âzib et Zayd ben Arqam sur le change, ils me dirent: «Du vivant du Messager de Dieu (ç), nous étions deux commerçants; nous l’avons interrogé sur le change et il nous avait dit: « S’il se fait directement de main en main, il n’y a aucun mal; mais s’il y a retardement, cela ne peut être valide. »»