Une image avec le hadith : Sayyâr ben Salâma dit: «J'entrai avec mon père chez Abu Barza al­ 'Aslamy. Mon père lui dit: "Comment le Messager de Dieu (ç) accomplissait les prières obligatoires? - Il faisait la prière de la canicule, répondit Abu Barza, celle que vous appelez la première, dès que le soleil commence à s'incliner [vers l'ouest]; la prière du 'asr, durant le temps où l'un de nous pouvait  revenir  à l'endroit de son habitation, à l'extrémité de Médine, et ce au moment où le soleil était encore vivant." Pour la prière du maghrib, j'ai oublié ce qu'il avait dit. «"Il aimait, continua Abu Barza, retarder la prière du 'ichâ', c'est-à-dire celle que vous appelez al-'atama, mais il détestait dormir avant de l'accomplir et parler après elle. Enfin, il terminait la prière d'al-ghadât au moment où l'on pouvait reconnaître la personne assise près de soi, et y récitait entre soixante et cent versets."»  Hadith rapporté par Boukhari (n°547)

Il faisait la prière de la canicule.

Sayyâr ben Salâma dit: «J’entrai avec mon père chez Abu Barza al­ ‘Aslamy. Mon père lui dit: « Comment le Messager de Dieu (ç) accomplissait les prières obligatoires? – Il faisait la prière de la canicule, répondit Abu Barza, celle que vous appelez la première, dès que le soleil commence à s’incliner [vers l’ouest]; la prière du ‘asr, durant le temps où l’un de nous pouvait revenir à l’endroit de son habitation, à l’extrémité de Médine, et ce au moment où le soleil était encore vivant. » Pour la prière du maghrib, j’ai oublié ce qu’il avait dit.
« »Il aimait, continua Abu Barza, retarder la prière du ‘ichâ’, c’est-à-dire celle que vous appelez al-‘atama, mais il détestait dormir avant de l’accomplir et parler après elle. Enfin, il terminait la prière d’al-ghadât au moment où l’on pouvait reconnaître la personne assise près de soi, et y récitait entre soixante et cent versets. »»

Hadith rapporté par Boukhari (n°547)