‘Abd-ul-Lâh ben Chaddâd dit: «J’ai entendu ma tante maternelle, Maymûna, l’épouse du Prophète (ç), dire qu’il lui arrivait, après l’arrêt de la prière à cause des menstrues, de s’allonger auprès de l’endroit où le Messager de Dieu (ç) se prosternait. « En faisant sa prière sur sa natte, dit-elle, une partie de ses vêtements me touche lorsqu’il se prosterne».