‘Âmir ben Sa’d dit: «Le Messager de Dieu (ç) donna… à un groupe de gens parmi lesquels j’étais assis. Il laissa un homme d’entre eux et ne lui donna [rien]. Mais cet homme me plaisait le plus. Je me dirigeai alors vers le Messager de Dieu (ç) et je lui dis en secret: « Mais pourquoi tu as négligé Un tel? Par Dieu, je vois qu’il est croyant. – Ou musulman, répliqua le Prophète. » Je me tus un peu puis, poussé par ce que je savais sur cet homme, je redis: « O Messager de Dieu! pourquoi tu as négligé Un tel? Par Dieu, je vois qu’il est croyant. – Ou musulman. » Je gardai le silence de nouveau pour un petit moment puis, poussé par ce que je savais sur l’homme, je redis: « O Messager de Dieu! pourquoi tu as négligé Un tel? Par Dieu, je vois qu’ils est croyant! – Ou musulman, rétorqua le Prophète. [Et saches] que je donne à un individu bien qu’un autre m’est plus cher, et ce de peur qu’il ne soit précipité dans le Feu sur sa face. »»