‘Anas ben Mâlik dit: «Une fois, le Messager de Dieu (ç) tomba de cheval et se blessa. Assis, il nous fit alors la prière et nous de la faire aussi assis. Ayant terminé, il nous dit: « Il n’y a d’imâm que pour qu’il soit imité. Donc, s’il prononce le tekbîr, prononcez vous aussi le tekbîr; s’il fait le rukû’, faites le rukû’; s’il relève la tête, relevez la tête; s’il dit: Sami’a-l-Lîhu liman amidahu, dites: Rabbânâ wa laka-l-hamdu; s’il se prosterne, prosternez-vous! »»