‘Â’icha: Fâtima, la fille d’Abu Hubaych, vint une fois voir le Prophète (ç) et l’interrogea: « O Messager de Dieu! je suis une femme dont le sang menstruel ne cesse point, je ne suis jamais en état de pureté… Dois-je laisser la prière? – Non, lui dit le Messager de Dieu (ç), ce sang vient d’une veine, il n’a rien à voir avec les menstrues. [Donc], lorsque tes menstrues arrivent, tu laisseras la prière; mais une fois [leur période habituelle] terminée, tu laveras le sang, après quoi, tu prieras! »
Hichâm: Et mon père de rapporter: » … après quoi, tu feras des ablutions mineures pour chaque prière jusqu’à ce que revienne ledit moment. »