3 mars 2020
Une image avec le hadith : Jâbir ben 'Abd-ul-Lâh dit: «Le jour de la bataille du Fossé, 'Umar ben al-Khatâb vint voir le Prophète (ç) et lui dit: "O Messager de Dieu! Par Dieu, j'ai pu à peine prier [le 'asr] lorsque le soleil était sur le point de se coucher!" Ces paroles de 'Umar étaient dites après le moment où l'on peut rompre le jeûne. "Par Dieu, dit le Prophète (ç), je ne l'ai pas encore faite!" Sur ce, le Prophète descendit à Buthân -  j'étais  avec lui -,   fit des ablutions  mineures, pria -   c'est-à-dire  le  'afr - après le coucher du soleil, puis fit la prière du maghrib.» Hadith rapporté par Boukhari (n°641)

Sur le fait de dire: « Nous n’avons pas prié »

Jâbir ben ‘Abd-ul-Lâh dit: «Le jour de la bataille du Fossé, ‘Umar ben al-Khatâb vint voir le Prophète (ç) et lui dit: « O Messager de Dieu! […]
3 mars 2020
Une image avec le hadith : Mâlik: «Jeunes que nous étions et à peu près du même âge, nous vînmes voir le Prophète (ç) chez qui nous restâmes vingt jours et vingt nuits. Le Messager de Dieu (ç) était compatissant et doux [envers nous] mais dès qu'il avait cru que nous avions  le désir -	ou: l'envie -	de revoir les nôtres, il nous demanda qui nous avions laissé derrière nous. En l'informant, il nous dit: "Retournez chez les vôtres, restez parmi eux, enseignez-leur [l'Islam], ordonnez-leur [de faire le bien] - il cita d'autres choses que j'ai retenues... ou que je n'ai pas retenues -	et priez comme vous m'avez vu prier. Lorsque le temps de la prière arrive, que l'un de vous vous fasse le 'adhân et que le plus âgé d'entre vous préside la prière!"» Hadith rapporté par Boukhari (n°631)

Le Messager de Dieu (ç) était compatissant et doux [envers nous]

Mâlik: «Jeunes que nous étions et à peu près du même âge, nous vînmes voir le Prophète (ç) chez qui nous restâmes vingt jours et vingt […]
3 mars 2020
Une image avec le hadith : Hudhayfa dit: «Nous étions assis chez 'Umar (r) lorsqu'il nous dit: "Qui d'entre vous a retenu les paroles du Messager de Dieu (ç) sur la fitna?- Moi, dis­ je, et exactement comme il les avait prononcées. - Tu as de l'audace envers lui (ou: envers elles). - La fitna de l'homme due à sa femme, à ses biens, à ses enfants et à son voisin sera expiée par la prière, le jeûne, l'aumôme et par la recommandation [du bien] et la défense [du mal]. - Ma question n'est pas sur cette fitna (épreuve), mais je veux connaître la fitna (les subversions) qui s'agite comme les vagues de mer. - Mais celle-ci est loin de toi, ô Commandeur des croyants! Il y a entre toi et elle une porte fermée. -	Cassera-t-on  cette porte ou bien elle sera ouverte? -	On la cassera. -	Donc, elle ne se refermera jamais."» Chaqîq: «Nous interrogeâmes ensuite Hudhayfa en disant: "Est-ce que 'Umar connaissait cette porte? - Oui, répondit-il, et de la même manière qu'on est sûr que le lendemain est précédé par une nuit; je lui ai rapporté [sur le sujet] un hadîth tout à fait authentique." «Après cela, nous n'osâmes pas interroger Hudhayfa [sur la porte], nous chargeâmes alors Masrûq de lui poser la question. Interrogé, Hudhayfa dit: "La porte est 'Umar."»   Hadith rapporté par Boukhari (n°525)

La prière est une expiation

Hudhayfa dit: «Nous étions assis chez ‘Umar (r) lorsqu’il nous dit: « Qui d’entre vous a retenu les paroles du Messager de Dieu (ç) sur la fitna?- […]
3 mars 2020
Une image avec le hadith : 'Abd-ul-Lâh dit: «Tandis que le Messager de Dieu (ç) était en train de prier près de la Ka'ba, un groupe de Quraychites étaient assis dans leur assemblée. L'un d'eux dit: "Ne voyez-vous pas l'ostentation de cet homme? Lequel d'entre vous peut se diriger aux chamelles des banus un tel et chercher un mélange de tripes, de sang et de membranes foetales puis attendre qu'il (le Prophète) se prosterne et les jeter entre ses épaules?" «Et le plus misérable d'entre eux s'élança [et apporta la chose]. Il attendit jusqu'à ce que le Messager de Dieu (ç) se prosternât puis posa le mélange entre ses épaules. Le Prophète (ç) resta prosterné. Quant aux Quraychites, ils se mirent à rigoler en se dandinant. Entre temps, un certain homme alla informer  Fâtima (Que la paix soit sur elle); elle était encore jeune. Elle arriva en courant, le Prophète (ç) était encore prosterné. «Elle enleva la saleté, se tourna aux Quraychites en commençant à les insulter. Quant au Messager de Dieu (ç), il continua sa prière; et l'ayant terminée il dit: "Seigneur! charge-Toi de Quraych! Seigneur! Charge-Toi de Quraych!" puis il précisa les noms: "Seigneur! Charge-Toi de 'Amrû ben Hichâm, de 'Utba ben Rabî'a, de Chayba ben Rabî'a, d'al-Walîd ben 'Utba, de 'Umayya ben Khalaf, de 'Uqba ben Abu Mu'ay et de 'Umâra ben al-Walîd!" «Je jure par Dieu, j'ai vu ces personnes abattues le jour de la bataille de Badr. On traîna leurs corps jusqu'au puits, le puits de Badr, puis le Messager de Dieu (ç) dit: "Les hommes du puits furent poursuivis par une malédiction."»  Hadith rapporté par Boukhari (n°520)

Sur le fait que la femme enlève quelque impureté de dessus l’orant

‘Abd-ul-Lâh dit: «Tandis que le Messager de Dieu (ç) était en train de prier près de la Ka’ba, un groupe de Quraychites étaient assis dans leur […]
3 mars 2020
Une image avec le hadith : Abu Sâlih as-Sammân dit: «J'ai vu, pendant un certain vendredi, Abu Sa'îd al-Khudry en train de prier devant une chose qui le séparait des gens. Un jeune homme des béni Abu Mu'ayt voulut passer devant lui, mais Abu Sa'îd [l'arrêta] en le poussant par la poitrine. Et comme le jeune homme ne trouva pour passer que le chemin qui était devant Abu Sa'îd, il essaya une deuxième fois de traverser le même passage, et de nouveau Abu Sa'îd le repoussa, mais d'une manière plus brusque cette fois. D'où le jeune insulta Abu Sa'îd puis se dirigea vers Marwân, pour se plaindre. Quant à Abu Sa'îd, il entra, après le jeune homme, chez Marwân, qui lui dit: "O Abu Sa'îd! que s'est-il passé entre toi et le/Us de ton frère?- J'ai entendu, répondit Abu Sa'îd, le Prophète (ç) dire ceci: Si l'un de vous est en train de prier devant une chose qui le sépare des gens, et qu'une personne veut traverser le passage qui est devant lui, qu'il la repousse! Et si cette personne refuse, qu'il la repousse avec violence! car il s'agit d'un démon."» Hadith rapporté par Boukhari (n°509)

Sur le fait que l’orant pousse celui qui passe devant lui

Abu Sâlih as-Sammân dit: «J’ai vu, pendant un certain vendredi, Abu Sa’îd al-Khudry en train de prier devant une chose qui le séparait des gens. Un […]