Sur le fait que la vente à livrer doit être pour un terme connu

Selon Sulaymân ach-Chaybâny, Muhammad ben Abu Mujâlid dit: «Abu Burda et ‘Abd Allâh ben Chaddâd m’envoyèrent interroger ‘Abd-ar­ Rahmân ben Abzâ et ‘Abd Allâh ben Abu ‘Awfâ… Je les interrogeai sur les crédits et ils me dirent: « Nous faisions du butin avec le Messager de Dieu (ç)… Et il arrivait que des Nabit de Syrie venaient nous voir. Alors, nous leur faisions des crédits sur le froment, l’orge et le raisin sec pour un terme fixé. – Avaient-ils des champs cultivés ou non?-Nous ne leur demandions pas cela, répondirent-ils. »»