‘Abd-ul-Lâh ben ‘Amru dit: «Une fois, alors que nous étions en voyage, le Messager de Dieu (ç) mit du retard à arriver. Il nous rejoignit au moment où le temps de la prière, celle du ‘asr, s’approchait de sa fin. Nous étions en train de faire nos ablutions mineures; nous commençâmes alors à essuyer les pieds lorsque, de toutes ses forces, il cria: « Malheur aux talons [des supplices] du Feu! » par deux ou trois fois.»