Une image avec le hadith :  D'après 'Urwa, 'Â'icha (r) dit: «Au milieu d'une nuit, le Messager de Dieu (ç) sortit et alla prier dans la mosquée. Quelques fidèles [qui étaient présents] firent la même prière que lui. Le lendemain matin, on parla de cette prière. Il y eut un grand nombre de fidèles qui se rassemblèrent la nuit et prièrent avec lui. Le jour suivant, au matin, on parla [davantage] de cette prière, ce qui amena les fidèles en grand nombre à la mosquée, dans la troisième nuit. Le Messager de Dieu (ç) sortit alors et pria; les fidèles prièrent avec lui. La quatrième nuit, la mosquée ne put contenir [tous] les fidèles. Au matin, il sortit pour la prière du sobh  , et lorsqu'il eut accompli  la prière du fajr, il fit face aux fidèles,  prononça le tachahud puis dit: "Cela dit, il ne m'était pas inconnu que vous étiez ici, mais j'ai craint que cette prière ne devienne obligatoire pour vous, et qu'alors vous en seriez dans l'incapacité de l'accomplir." Et, à la mort du Messager de Dieu (ç), les choses étaient restées dans le même état.» Hadith rapporté par Boukhari (n°2012)

Au milieu d’une nuit, le Messager de Dieu (ç) sortit et alla prier dans la mosquée.

D’après ‘Urwa, ‘Â’icha (r) dit: «Au milieu d’une nuit, le Messager de Dieu (ç) sortit et alla prier dans la mosquée. Quelques fidèles [qui étaient présents] firent la même prière que lui. Le lendemain matin, on parla de cette prière. Il y eut un grand nombre de fidèles qui se rassemblèrent la nuit et prièrent avec lui. Le jour suivant, au matin, on parla [davantage] de cette prière, ce qui amena les fidèles en grand nombre à la mosquée, dans la troisième nuit. Le Messager de Dieu (ç) sortit alors et pria; les fidèles prièrent avec lui. La quatrième nuit, la mosquée ne put contenir [tous] les fidèles. Au matin, il sortit pour la prière du sobh , et lorsqu’il eut accompli la prière du fajr, il fit face aux fidèles, prononça le tachahud puis dit: « Cela dit, il ne m’était pas inconnu que vous étiez ici, mais j’ai craint que cette prière ne devienne obligatoire pour vous, et qu’alors vous en seriez dans l’incapacité de l’accomplir. » Et, à la mort du Messager de Dieu (ç), les choses étaient restées dans le même état.»

Hadith rapporté par Boukhari (n°2012)