D’après ‘Ilqima,
« On a interrogé ‘Abdullah Ibn Mas’oud à propos d’un homme qui avait épousé une femme sans préciser la dot qu’il lui devait (1) mais aussi sans avoir consommé le mariage jusqu’à qu’il meurt. »
Ibn Mas’oud (qu’Allah l’agrée) répondit:
« qu’elle (c’est à dire la veuve) méritait la dot similaire (2) à ces femmes, ni plus ni moins (en toute équité) »
« Et elle doit observée la période de viduité (Iddat), et elle a droit à l’héritage.(3)
Maqal ibn Sinan al-Achdjai (qu’Allah l’agrée) s’est levé a dit:
« Le Messager d’Allah (que la prière d’Allah et Son salut soient sur lui) avait émis dans le cas de Birwa bint Wachiq, une femme issue de nous, une sentence identique à la tienne, ce qui réjouit Ibn Massoud.»(4)