Une image avec le hadith : 'Omar Ibn Al-Khattâb (que Dieu l'agrée) a dit : Je n'ai demandé à l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) des explications sur un sujet comme je l'ai fait au sujet du défunt sans héritiers. Or, Celui-ci ne m'a jamais rudoyé que sur ce sujet; au point de me pincer la poitrine avec son doigt, en me disant : "Ô 'Omar, ne te suffis pas la révélation du verset d'Al-Sayf, le dernier de la sourate An-Nisâ'! Si je vis encore, je donnerais sur ce verset un jugement qui servira de référence tant à celui qui connaît bien le Coran qu'à celui qui ne le connaît pas". 'Omar poursuivit son discours, en disant : Seigneur, Je Te prends à témoin sur les gouverneurs des provinces que je n'ai fait régné là-bas que pour établir la justice, enseigner aux gens leur religion et la pratique traditionnelle de leur Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui), partager entre eux leurs butins et me rendre compte des affaires qui leur semblent obscures. Ô gens, vous mangez deux plantes que je ne trouve autre que mauvaises, à savoir : l'oignon et l'ail. Alors que l'Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui), s'il en sentait l'odeur émanant de l'un des fidèles dans la mosquée, ordonnait que l'on l'expulse jusqu'à l'emplacement d' Al-Baqî'. Si vous devez manger de ces plantes, cuisinez-les bien. Hadith rapporté par Mouslim (n°567)

Manger l’oignon et l’ail avant d’aller à la mosquée

‘Omar Ibn Al-Khattâb (que Dieu l’agrée) a dit : Je n’ai demandé à l’Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui) des explications sur un sujet comme je l’ai fait au sujet du défunt sans héritiers. Or, Celui-ci ne m’a jamais rudoyé que sur ce sujet; au point de me pincer la poitrine avec son doigt, en me disant : « Ô ‘Omar, ne te suffis pas la révélation du verset d’Al-Sayf, le dernier de la sourate An-Nisâ’! Si je vis encore, je donnerais sur ce verset un jugement qui servira de référence tant à celui qui connaît bien le Coran qu’à celui qui ne le connaît pas ». ‘Omar poursuivit son discours, en disant : Seigneur, Je Te prends à témoin sur les gouverneurs des provinces que je n’ai fait régné là-bas que pour établir la justice, enseigner aux gens leur religion et la pratique traditionnelle de leur Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui), partager entre eux leurs butins et me rendre compte des affaires qui leur semblent obscures. Ô gens, vous mangez deux plantes que je ne trouve autre que mauvaises, à savoir : l’oignon et l’ail. Alors que l’Envoyé de Dieu (paix et bénédiction de Dieu sur lui), s’il en sentait l’odeur émanant de l’un des fidèles dans la mosquée, ordonnait que l’on l’expulse jusqu’à l’emplacement d’ Al-Baqî’. Si vous devez manger de ces plantes, cuisinez-les bien.

Hadith rapporté par Mouslim (n°567)