Charîk ben ‘Abd-ul-Lâh dit: «J’ai entendu ‘Anas ben Mâlik dire: « Je n’ai jamais prié derrière un imâm qui a une prière aussi légère et aussi parfaite que celle du Prophète (ç). [Des fois], en entendant les sanglots d’un enfant, il accélérait de crainte de causer de la peine à la mère. »»