‘Abd-ul-Lâh ben Chaddâd ben al-Hâdi dit: «Ma tante maternelle, Maymuna bent al-1:Jârith, m’a dit: « Ma couche était tout près de l’endroit où priait le Prophète (ç). Des fois, son vêtement tombait sur moi tandis que je me tenais encore dans ma couche. »»