Selon ‘Ubayd-ul-Lâh ben ‘Abd-ul-Lâh, ibn ‘Abbâs rapporta: «Lorsque le mal du Prophète (ç) devint plus intense, il dit: « Apportez-moi sur quoi écrire afin [que je vous dicte] d’écrire ce qui vous évitera après moi de vous égarer! » Et ‘Umar d’intervenir: « Le mal domine le Prophète (ç); nous avons le Livre de Dieu, il nous suffit. » Les présents divergèrent alors et les voix [s’élevèrent] bruyantes.
«Le Prophète: « Levez-vous et laissez-moi! Il ne sied qu’on se dispute en ma présence. »»
Et Ibn ‘Abbâs de continuer en sortant: «Le malheur, tout le malheur, réside/ résidait dans l’obstacle qui fut dressé entre le Messager de Dieu (ç) et son écrit.»